Des ruelles qui montent et qui descendent
Des tramways bringuebalants, de vieux funiculaires, de la couleur partout sur les murs.

Trois jours à Lisbonne, un temps idéal, et l’envie d’y retourner.

J’ai tout aimé.
Regarder le coucher du soleil sur le Tage en sirotant un ginjinha
Dîner au son du fado
L’odeur de lessive le dimanche, et le linge qui sèche suspendu aux fenêtres.
Les pastéis de nata, le poisson grillé, les carreaux d’Azulejos et la gentillesse des habitants…

Une ambiance tantôt décatie, tantôt moderne, mais toujours tellement vivante !

Ce sont ces contrastes que j’ai adoré
Ce mélange piquant de l’ancien et du nouveau
Et la facilité avec laquelle on passe de l’un à l’autre.

Picasso, Dubuffet, Bacon, Warhol, Miro, klein, Pollocck, Lichtenstein, Dali, Anish Kapoor…
Du dadaïsme, minimalisme, art cinétique, surréalisme au conceptualisme
Tous les plus grands y sont.

La collection du Museu coleçcão Berardo est bluffante
J’ai rarement eu l’occasion de voir autant de belles pièces en même temps.
Et comme le musée était pratiquement désert ce jour là
J’ai un peu eu l’impression qu’il était ouvert juste pour moi…

Mais mon coup de cœur favori a été la découverte de la LX Factory
Une ancienne usine textile reconvertie en pôle artistique
Avec galeries d’art, ateliers, imprimeries, agence design, boutiques de créateurs et restaurants

Je suis allée de surprise en surprise
De découverte en découverte
En gardant toujours les yeux grands écarquillés.

{ Oh qu’il a été difficile de choisir ces quelques extraits parmi toutes mes images de Lisbonne…
Je n’ai pas mis les sites historiques
Nous les avons vu en sillonnant la ville avec le fameux tramway 28
A pieds en nous perdant dans les ruelles
Depuis le fleuve en navigant sur le Tage.
Nous avons même loué un scooter monté sur Kart, pour les approcher de près et frissonner de plaisir trouille? en roulant à fond dans les ruelles escarpées.
Il existe mille manières de les aborder, on ne peut pas les louper }